Fiction2TokioHotel26100

Chapitre 2

-Tu es tombé ma puce ?
-Non papa, répondit-elle en serrant son nounours contre elle
-Mamie ta tapé ?

La petite fille se mise alors à pleurer. Il comprit qu'il devait partir s'il ne voulait pas retrouver sa fille près de sa femme et son frère. Le lendemain il s'installait dans leur nouvelle maison coupant ainsi les ponts avec ses parents.
Melinda jouait déjà dans sa nouvelle chambre tandis que Tom faisait un peu de ménage. Il avait renvoyait la bonne que Bill avait choisi le mois précédant car elle lui revenait trop cher.

-Papa ze peux avoir un chat ?
-Un chat ? Mais pourquoi faire ?
-Il manque toujous un invité à ma dinette, cha m'énerve
-puis-je m'inviter ?
-Euhm...Vouiiiii !!!

Elle riait pendant que son père la prenait dans ses bras et ils allaient jouer à la dinette ensemble. Elle le faisait rire. Cela faisait tellement longtemps qu'aucune émotion n'était sortir de lui.
Un matin Tom reçut un coup de fil de son manager, il devait le retrouver avec Georg et Gustav pour une interview. Il ne voulait pas parler de tout ce qui c'était passé. Il ne voulait plus le succès, il voulait juste la paix. Il ne savait pas quoi faire de Melinda, il ne voulait pas encombrer la femme de Georg et la fiancée de Gustav. La petite qui savait que son père était triste et encombré par sa présence alla chercher un magasine que sa maîtresse lui avait donné il y a quelques mois et le donna à son père.

-Ze veux elle
-C'est qui ? demandait-il en lisant
-Une nounou, ze veux chette nounou papa
-Pourquoi faire princesse ?
-Pour zouer avet elle, elle est pas sère, ze chui chuuur, y'a le numéro làaa
-Bon, bon, tu as gagné, je vais l'appeler princesse, mais ne te réjouit pas trop...oui allo mademoiselle Lovens ?
-Oui c'est moi-même
-Je vous appelle car il y a quelques mois j'avais repérer votre annonce dans un magazine et je voudrais savoir si vous pouviez garder ma fille
-Bien sûr ! Si vous saviez comme je vous aime déjà, j'attends un appel depuis trois mois ! Merci beaucoup !
-De rien, je vais vous prendre à l'essai pour voir si vous me convenez et ensuite nous verrons
-Evidement
-Pouvez-vous venir dans une heure ?
-Bien sur

Melinda se mise à danser devant son père qui essayait de ne pas rire et il donna leur adresse ainsi que son numéro de téléphone. Une fois tous les renseignements donnés et échangés il raccrocha.

-Bien joué princesse, elle arrive
-Vouaiiiiiiiis !!! disait-elle en lui tapant dans les mains, tu es le meilleur papa du monde !
-Je sais je sais, riait-il, allé fille on va te mettre une jolie robe
-Apès tu vas raser ta baabe ?
-Un peu, pas beaucoup, disait-il en la portant sur son dos jusqu'à sa chambre
-Pouquoi ?
-parce que maman aimait bien
-Elle aime touzou ze chui chur papa
-Je suis sûr aussi

Ils se souriaient. Tom habilla Melinda et inversement puis ils continuèrent de jouer à la dinette.

-Papa tu crois que maman nous voit ?
-Bien sur qu'elle nous voit ma puce
-Alors elle va êtes zalouse de ma nounou ?
-Il y a des chances, mais maman c'est faire la part des choses

Il la chatouillait et buvait sa petite tasse de thé en parlant au panda.
On sonnait trois coups.

Chapitre 2 ♥

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#Posté le jeudi 27 novembre 2014 11:19

Modifié le mardi 30 décembre 2014 11:35

Chapitre 3

Il descendit les marches deux par deux avec sa fille sur le dos et alla ouvrir la porte. Il vit là un rayon de soleil. Elle avait les cheveux noir, très long et légèrement ondulé, un maquillage doux et raffiné si naturelle, un tailleur avec un jean bleu foncée qui moulait ses quelques formes qu'elle avait par-ci par-là.

-Bonjour je suis Iris la nounou
-Bonjour, entrez je vous en pris

Il la faisait entrer et l'installait au salon lui ramenant quelque chose à boire et à grignoter.

-Merci, souriait-elle
-de rien, pour commencer avez-vous un CV ?
-Bien sûr, tenez
-Bien, prenant connaissance du document, Vous n'avez jamais gardé d'enfant ?
-Non hélas, mais il y a un début à tout
-Vous avez raison, vous prenez combien de l'heure ?
- minimum 20 dollars
-Ah...Je vous prends pour 5 dollars de l'heure
-J'ai besoin de travailler, je ne vais pas faire ma difficile.

Cette jeune femme s'appelait Iris Lovens et devait s'occuper de Melinda tous les jours de la semaine. Tom passait ainsi plus de temps avec sa fille, qui elle était en manque de son père. Un soir alors que Tom était avec son manager à une heure de la maison, Mélina faisait manger Melinda.

-Mange allé.
-Nan
-Tu es sur de toi ?
-Voui, riait-elle
-Bien alors au placard ma p'tite !

Elle prenait la jeune fille par le bras et l'emmener de force dans le placard à chaussure. Melinda tombait dans les chaussures de son père. Elle criait et taper à la porte. En vin. Mélina débarrassait la table de la cuisine et faisait la vaisselle comme si de rien n'était. La petite fille pleurait tant qu'elle pouvait, un dernier cri de pleure et de peur se fit entendre. Un dernier.

Tom et son manager parlait marketing.

-Ecoute David, tu es bien gentil mais c'est Bill qui faisait ça
-Sauf qu'il ne reste que toi
-Si je dois la faire seul il en est hors de question, Georg et Gustav le feront avec moi
-Comme tu voudras. Comment va ta fille ?
-Je ne sais pas, Je crois qu'elle ne réalise pas vraiment, elle n'a pas encore pleuré sa mère comme elle le devrait
-Elle est encore petite Tom, jamais elle ne pleurera comme toi
-Un jour sa viendra...Je dois rentrer
-Tu ne veux pas une dernière petite bière ?
-Melinda m'attend
-Tu m'as dit qu'elle avait une nounou non ?
-Oui mais ça ne fait que deux semaines
-Elles sont meilleures amies je suis sûr, aller reste va
-Toi tu t'es encore disputé avec ta femme
-Oh oui...

Une bière. Encore une. Encore une. Encore une. Trop ivre pour rentrer il laissa sans le savoir sa fille qu'il chérissait tant, seule, dans une maison lugubre, dans un placard noir, comme la mort.

Chapitre 3.♥

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#Posté le dimanche 30 novembre 2014 06:21

Modifié le mardi 30 décembre 2014 11:35

Chapitre 5

Tom se réveillait brusquement par les cris de sa fille. A peine avait-il besoin de monter plus pour se rendre compte qu'un feu c'était manifesté dans la maison.

-Bébé !

Pas de réponse. Il plaçait son bras devant son nez et sa bouche pour ne pas humer l'air étouffante de la fumée. Il courut dans la chambre de sa fille pour la secourir. Elle était allongée sur le sol, inanimé. Il la prise dans ses bras et descendu quatre à quatre les marches, puis sortit de la maison appelant dans un dernier brin de souffle le nom de Cookie et Pumba.
Dehors sa voiture n'était plus qu'un cadavre de cendre. Il voulait rentrer une dernière fois dans son cocon pour récupérer les affaires de sa femme mais trop tard, le feu noir avait détruit le dôme.
Il consola Melinda en la berçant et cachant son visage dans son cou pour ne pas quelle voit le pire.
Epuisé à errer dans les rues il s'asseyait sur un banc, continuant de bercer sa petite fille qui dormait à point fermé. Il était sur le point de fermer les yeux.

-Excusez-moi, puis-je m'asseoir ? demandait une jeune femme
-Oui, bien sûr, répondait-il en se poussant doucement pour lui laisser une place
-Quel froid, vous n'avez pas froid ?
-Non pas vraiment
-Vous avez le sang chaud alors, disait-elle en frottant ses mains, C'est votre fille ?
-Oui, vous voulez ma veste ?
-Non ne vous inquiétez pas, elle est belle, elle a quel âge ?
-Trois ans, bientôt quatre, dans quelques mois
-C'est une grande fille, souriait-elle
-Se sont vos chiens ?
-Oui
-Ils sont magnifique !
-Et sinon vous... ? demandait-il en baissant son regard
-Enceinte de six mois...
-Votre mari n'est pas avec vous ? Et puis que faites-vous à cette heure-ci sur un banc ?
-Je n'ai pas de mari...et je ne sais pas où aller, je air depuis six mois justement
-Il y a un café en face, il me reste quelque pièce, ça vous dit ?
-Pourquoi pas

Dans le café, Melinda dormait sur deux chaises collés l'une contre l'autre, tandis que Tom et la jeune femme dégustait un bon café corsé.

-Merci beaucoup pour ce café, ça faisait si longtemps, souriait-elle
-De rien, quel âge avez-vous ?
-J'ai eu trente ans il y a un mois et vous ?
-Bientôt quarante et un an, je les aurais le même jour que ma fille
-Vous et votre femme êtes bien organisé, riait-elle doucement
-Ma femme est décédée
-Oh...toutes mes condoléances, je suis désolé
-Ce n'est rien vous ne pouviez pas savoir, elle est décédée dans un accident de voiture...
-Vous avez encore l'impression qu'elle est ici, n'est-ce pas ?
-Oui c'est exact
-J'ai perdu mon premier amour il y a plus de quinze ans, je ne sais pas où elle est...
-Elle ? Vous êtes... ?
-J'étais, maintenant je ne sais plus. Je n'ai plus eu de relation depuis
-Mais, vous êtes en ceinte, vous...

Il réfléchissait un instant et comprenait que cette femme avait vécu un enfer.

-Ça s'est passé il y a six moi. Je me promenais tranquillement dans les rues de France, mon pays d'origine, quand un homme ma abordé. Il m'a fait monter dans sa voiture de force et...Vous voyez ? Ensuite je suis partit en Belgique rejoindre mon meilleur ami. Il m'a aidé du mieux qu'il a pu. Mais un jour sa petite amie est revenue de ses cours de Londres, et là...J'ai dû partir car elle était jalouse. Alors je suis venu ici, en Allemagne. Comme j'ai disparut du jour au lendemain, je n'ai plus rien. Alors j'air dans les rues, et j'attends d'accoucher.
-Et après ?
-Et après....

Elle se mettait à rire sous les yeux d'un Tom incompréhensible. Il se doutait que se rire était nerveux. A moins, qu'elle prenait la situation du mieux qu'elle pouvait. Il opta pour cette deuxième raison. Un charme exquis se dégagé de son rire. C'est comme si sa femme se trouvait en face de lui. Il souriait légèrement avant de prononcer.

-Alors vous dormez seule dans la rue depuis six mois ?
-oui seule. Disons quatre mois si on enlève les deux mois où je suis resté chez mon ami, souriait-elle
-Vous avez du courage
-J'essaie juste de survivre, et vous ? Demandait-elle en buvant une gorgé de café
-Moi ? Et bien...Ma femme et mon frère sont décédés dans le même accident. Il y a presque un an. Depuis je tente d'élever ma fille. Ce n'est pas toujours facile. Nous n'étions pas si complices que ça car je n'étais jamais à la maison. Maintenant c'est tout le contraire. Il a quelques jours, nous avons fait une mauvaise rencontre, et cette nuit notre maison et notre voiture sont partis en fumé. Je ne sais pas où allé, je ne sais pas quoi faire.
-Vous n'étiez jamais chez vous ?
-Non, j'avais trop de travail, j'ai négligé ma vie de couple et ma vie de famille. Je regrette tout aujourd'hui.
-Vous avez toujours votre fille, concentré vous dessus, c'est une brave petite, elle a une tête d'ange. Protégez là du mieux que vous pouvez.

Elle souriait et se levé. Elle s'en allait sans rien de plus. Comme ça, comme si cela se faisait de partir après des confidences. Tom la scruta du regard. Elle s'en allait avec un homme, beaucoup plus âgé qu'elle et lui. Il l'avait remarquait pendant toute leur conversation. Il trouvait cela étrange. Elle lui avait dit qu'elle était seule. Fallait-il qu'il la suive ou était-ce un piège à nouveau ?

Chapitre 5 ♥

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#Posté le mercredi 10 décembre 2014 08:02

Modifié le mardi 30 décembre 2014 11:35

Chapitre 6

Melinda ouvrait ses beaux et grands yeux marron sur un ciel bleu clair légèrement nuancé de nuages gris. Elle mit sa main devant sa bouche afin de bailler. Sa mère lui avait appris toutes les bonnes manières à avoir pour la vie de tous les jours. Malgré ses trois ans, elle savait déjà ce qu'elle voulait faire. Mannequin. Mannequin comme sa mère. Elle voulait devenir une miss, la plus belle de toute, mais voulait tout de même rester modeste pour que son père l'aime toujours et veuille bien se marier avec elle. Melinda Kaulitz était ambitieuse. Un caractère commun qu'avaient ses parents. Elle se redressait et se souvenait de la nuit qu'elle et son père avait passé. Une nuit dont elle se souvenait quelques détails assez surprenant.

Flash-back :

-Papa veut pas domir maintenant, ché trop tôooot !!
-Princesse, il faut que tu dormes, papa a besoin de réfléchir, papa a besoin d'être seul

Elle soufflait et était plongé dans sa chambre, noir seule. Elle dessinait sa mère au plafond. Elle se souvenait que son père disait souvent « je t'aime » à sa mère. Et que cette dernière lui répondait « moi aussi je t'aime ». Une ombre pénétra près de la silhouette de sa mère. Une ombre qui respirait le danger. Elle tenait une sorte de bidon. Il se penchait et déversait un liquide au sol. Quelque minute plus tard des flammes montaient au plafond. Sa mère brûla vive devant les yeux de sa fille.

Fin du Flash-back

Arpentant les rues de Berlin dans les bras de son père, Melinda savait pertinemment que seule sa nourrice avait pu brûler sa mère. Mais elle ne voulait pas que son père le sache. Il était protecteur avec elle, elle se devait l'être avec lui.
Tom Kaulitz était sale. Sa barbe était plus longue que d'habitude et ses yeux étaient petits et cernés. Il ne savait pas où il allait. Il marchait. C'est tout. Il souhaitait confier sa fille à ses amis, Georg et Gustav mais il était tellement en colère après eux. Reprendre la scène sans Bill ? Ils étaient fous. Plutôt mourir que remonter sur scène. En tout cas il ne voulait pas abandonné Melinda mais il devait le faire pour un petit moment. Cette jeune femme du petit matin l'avait troublé.

-Non paaaapaaa !!!!
-Papa va revenir, je te le promets, disait-il en serrant sa fille une dernière fois contre lui.
-T'inquiète pas Tom, elle ne risque rien ici, intervenait Gustav
-Je sais, tu es un papa poule, prend soin des chien aussi
-Comme toi, ne t'inquiète pas va, personne ne risque quelque chose

Ils se serraient la main et le paternelle de Melinda s'en allait la laissant dans les bras d'un de ses meilleurs amis.
Il ne devait se concentrer que sur la jeune femme. Seul il l'était, seul il y arriverait. Il retourna sur le même banc que la veille et attendu. Attendu. Attendu.

-Encore vous ? Décidemment c'est votre coin, intervenait la jeune femme
-Que voulez-vous, c'est le vôtre aussi, non ?
-Il faut bien avoir les étoiles dans les yeux
-vous venez là pour regarder les passants ?
-Oui, et il y en a qui sont pas mal, riait-elle
-Comment vous appelez-vous ?
-Mayam et vous ?
-Tom
-Enchanté Tom, votre fille n'est pas avec vous ?
-non, je les laissé chez des amis, elle était fatigué
-Pourquoi n'êtes-vous pas restez chez vos amis ?
-Une envie de prendre l'air.

La conversation devenait tendue. Mayam c'était refermé immédiatement. Comme une huitre qui ne veut pas que sa perle précieuse s'échappe. Tom lui proposa de faire un tour, de marcher à la belle étoile. Il sentait une présence non loin d'eux en plus de Mayam qui se retournait sans cesse pour regarder derrière eux.

-Mayam, puis-je aller droit au but ?
-Courrez
-Quoi ?
-Courrez sans vous arrêtait, ne cherchez plus jamais à me revoir, on ne se connait depuis hier seulement mais sachez que j'apprécie votre compagnie. Mais maintenant courrez sans vous arrêter
-Mais...
-COURREZ !!

Il entendait une voix d'homme se rapprocher de lui. Il prit la main de Mayam et courut, courut aussi vite qu'il le pouvait. Mayam se fatigua très vite mais Tom continua de courir. Ses jambes étaient lancées, il ne pouvait plus s'arrêtait. L'homme qui les pourchassé, était-il celui qui attendait la belle jeune femme la veille ? Mayam essayer de s'échapper de Tom, elle ne voulait pas lui attirait d'ennuis.

-Christian Lâchez moi !! Lâchait-elle en courant épuisé
-Non !

Ils passèrent sous un pont, Mayam pria et Tom l'entraina dans sa chute. En dessous de le vol plané, qui y'avait-il ? Des rails de chemins de fers. Un train passa à ce moment-là. Un coup de chance ? Tom Kaulitz ne croyait pas vraiment à la chance, il se disait simplement que celui en qui il croyait plus que tout l'aidait. Bill. Bill avait envoyé ce train pour leur venir en aide. Mayam et Tom atterrirent brutalement. La jeune femme s'accrocha à l'homme qu'elle avait en face d'elle, quand à lui il s'accrochait au toi du train.

-A trois on saute !
-Mais vous êtes complétement fou !!
-UN...DEUX...TROIS !!!!

chapitre 6

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#Posté le dimanche 14 décembre 2014 10:55

Modifié le mardi 30 décembre 2014 11:35

Chapitre 7

-Tenez, votre verre d'eau, disait-il en s'asseyant dans un des fauteuils
-Merci, vous aimez la bière ? Demandait-elle en faisant de même
-oui, bon qui était cet homme ?
-En quoi ça vous regarde ?
-Il a essayé de me tuer, alors dîtes moi qui est cet homme !!
-Il me donnait de l'argent, j'en avais besoin ! J'en avais besoin pour mon bébé, d'ailleurs vous avez la chance, si je l'avais perdu par votre faute, je vous jure que ....
-OH ! Doucement s'il vous plait, ma femme et les gosses dorment !
-Excuse nous Gustav, disait Tom l'air agacé
-Vous feriez mieux d'aller vous coucher maintenant, rétorquait Gustav

Mayam prenait en possession la chambre d'ami et s'allongeait en sous-vêtement dans les draps froids. Elle caressait son ventre doucement, pour se rassurer. Et si elle l'avait perdu ? Non, il se mettait à bouger. Une chance immense pour cette femme seule. Seule ? Et Tom alors ? Elle le trouvait agaçant mais protecteur. Il était trop curieux.

-Non excusez-moi mais je ne peux pas aller me coucher comme ça ! Disait celui-ci en déboulant dans la chambre
-Sortez ! disait-elle en se relevant et couvrant sa poitrine
-Ecoutez, j'ai besoin d'avoir des explications. Qui est cet homme ? Comment et pourquoi vous donne-t-il de l'argent ? Pourquoi parler de lui au passé ? Il va finir par vous retrouver aussi non ?
-Si je réponds vous me laisserez tranquille ?
-On verra
-Cet homme est Basillon, il est multimillionnaire. Je l'accompagne dans des soirées, joue la femme aimante, il joue le mari protecteur et je reçois un cacher de 100 000 dollars, chaque soirs.
-Juste ça ? Rien d'autre ?
-Que voulez-vous savoir d'autre ?
-Vous touche-t-il ?
-Forcément je joue sa femme, répondait-elle agacé
-Etes-vous allez plus loin ?
-J'ai un peu de fierté, pour qui me prenez-vous ?
-Pour une femme détruite et seule, d'où sort ce Christian d'ailleurs ?
-Votre nom de secours au cas où. Il ne faut plus que l'on se revoir, comprenez-vous ?
-Mais j'ai envie de vous aidez
-Justement, demain je disparais, ne cherchez pas à me revoir, d'accord ? Demandait-elle les larmes aux yeux, et je parle de lui au passé car il a sauté lui aussi, mais il n'a pas eu le même sort que nous, vous êtes un fou.

Tom Kaulitz s'approchait du lit et s'asseyait doucement près de Mayam. Il prenait sa douce main dans les siennes. Elle, ne disait rien, elle se laissait faire. Tous deux ne se comprenaient pas, ils étaient différent, mais elle était seule, avec un bébé qui allait bientôt arrivé et lui était seul avec sa fille. Il avait besoin de l'aider. Il s'allongea à côté d'elle sous les draps, et ouvrit ses bras. Elle se réfugia dans ces derniers. Elle repensait à son premier amour, seule sa compagne d'autre fois la prenait ainsi. Elle était folle amoureuse. Elles étaient folle l'une de l'autre. Une dernière pensée pour elle avant de s'endormir et une dernière bouffée d'air révélant le parfum de Tom et ses yeux se fermèrent.

2 ans plus tard

-Alors cette maison ? Demandait Tom à Mayam en mettant la table
-Une vraie merveille, le loyer un peu élevé mais je vais m'arranger avec ma maison d'édition, répondait-elle en l'aidant
-Tu peux me passer les serviettes s'il te plait ?
-Oui bien sûr
-tu crois que ta maison d'édition voudra bien te donner plus ?
-Je ne sais pas, mais mes ventes de livres montent en flèche, je suis assez satisfaite de mon travail
-En même temps c'est un vrai petit bijou, il est touchant, tu écris vachement bien
-Merci, mais si tu savais comme je stresse
-Tout va bien se passer, ce soir c'est ta soirée et demain tu signes, je te le promets
-Merci Tom, t'es un amour, tu le sais ça ? disait-elle en se réfugiant dans ses bras
-De rien c'est normal, et ouais je crois que je le sais, riait-il en la serrant fort contre lui.

*******

Hello tout le monde !!
Voilà le chapitre 7 :) vous a-t-il plus ?
nous voilà deux ans après la rencontre entre Mayam et Tom, comment trouvez-vous cette jeune femme ? Que pensez-vous du contexte, de l'histoire, des personnages ? Qu'imaginez-vous pour la suite ? Répondez en commentaire ;)

Merci de votre fidélité, je vous aime ! Vous êtes le meilleurs ;)

Kiiiiss <3

Chapitre 7.. ツ

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#Posté le mercredi 17 décembre 2014 08:30

Modifié le samedi 10 janvier 2015 11:48

Chapitre 8

Tom et Mayam finissait de mettre la table et allaient se préparer. Ce soir Mayam recevait son éditeur. D'ailleurs on sonnait à la porte.

-Tom, Tom, Tom !! disait-elle en montant les escaliers
-Oui ? Disait-il en ouvrant la porte de la salle de bain
-Sa a sonné !! Disait-elle paniqué
-Détend-toi, tu me fais stresser ! Souriait-il, je mets mon tee-shirt et je vous rejoins
-viens avec moi s'il te plait, je vais faire un malaise ! disait-elle en faisant l'éventail avec sa main devant son visage
-Ah non ne me lâche pas ! Lâchait-il en recouvrant son torse, bon détend toi, tout va bien se passer
-Croisons les doigts
-Au pire y'a Gustav et Georg qui vont arriver, d'ailleurs peut-être que c'est eux
-Ouvre, on ne sait jamais

Il la prenait par la main et tous deux descendaient dans le hall. Ils se regardaient, s'arrangeaient et ouvraient la porte à deux.

-Oh Gustav...disait-elle en lui tournant le dos
-Merci, ça fait plaisir, quel accueil...disait-il en serrant la main de Tom
-Pardon Gustav
-ne t'en fais pas, je vois bien que tu es stressé, Georg arrive
-Pose ta veste dans la salle de bain, répliquait Tom
-Tom tu n'as pas entendu Mia pleurer ?
-Mais non, arrête un peu, Mia et Melinda dorment, ne t'inquiète pas
-Eeeeeeh !!! Criait Georg en claquant la porte
-OOOh mais chuuut !! Les petites dorment voyons !! Criait à voix basse Mayam
-Oh pardon, ça va vous ? Demandait-il en serrant la main de Tom et en faisant la bise à Mayam
-Oui ça va mec, veste dans la salle de bain, un verre de champagne tout le monde ?
-Yes ! Dansait Gustav

Tous riaient. Tous, sauf Mayam. Ses nerfs étaient contracté, elle avait mal à la nuque et avait tendance à tourner de l'œil. Alors qu'elle était assise au salon sur le canapé à écouter les garçons, Tom lui masser la nuque.

-Ça sonne je vais ouvrir ? Demandait Georg
-Non, c'est Mayam qui va y aller
-Quoi ? Mais Tom non, j'ai trop peur, disait-elle apeuré
-Il ne va pas te lécher les pieds
-Ah je ne connaissais pas cette expression, riait-elle
- Moi, non plus, riaient les garçons en cœur

Mayam se levait fébrilement et allait ouvrir la porte, surveillait de près par Tom. Un homme assez grand, musclé et tatoué se présenta à eux.
-Enchanté monsieur Cooper
-Enchanté mademoiselle Ovalie, disait-il en lui serrant la main.

Pendant l'apéritif une ambiance assez chic c'était mis en place. Tous parlaient entre eux. Monsieur Cooper avait cinquante ans et était éditeur depuis vingts ans.

-Votre ouvrage ma bouleversé, votre histoire et passionnante, vous êtes née pour faire ce métier madame Ovalie
-Merci beaucoup
-J'ai d'ailleurs avec moi des documents à vous faire signer, suivez moi

Mayam donnait un coup de pied à Tom qui était dos à elle. Il comprenait de suite et suivait son amie et ce monsieur Cooper du regard. Ils sortaient.

-Les gars ont va fumer, disait Tom
-Je croyais que tu voulais arrêter
-Gustav, on va fumer, répliquait Georg d'un ton insistant
-Ah oui pardon, je viens de comprendre, désolé les gars, s'excusait Gustav

Ils sortaient donc fumé. Les trois amis s'avaient que Mayam n'aimait pas se retrouver seule avec un homme. Encore moins lorsque la nuit noir était tombée.

-C'est moi ou... constaté Tom en fronçant le front
-Le fumier, il la relooke, Tom ? Tom ? Tom ! criait Georg
-Trop tard, il est partit, toussait Gustav
-Et en plus il ne marche pas droit...
-Le champagne Georg, le champagne...
-Non il simule...

/////

-Eeeeeh mon amour ! Souriait Tom en prenant Mayam dans ses bras
-Mon amour ? demandait Mayam surprise
-Que faîtes-vous ?
-eh bien monsieur Cooper allait me faire montrer mon contrat
-J'ai surtout vu qu'il voulait signer tes jolie petite fille, disait-il en riant
-Non, jamais j'oserai monsieur... ?
-Kaulitz, monsieur Kaulitz
-Eh bien monsieur Kaulitz je crois que vous avez trop bu
-Eh mec, tu crois que parce que tu es musclés et tatoué que tu peux la relooker ?
-Madame Ovalie je ne peux pas accepter cela, trouver un autre éditeur
-Non attendez, il doit bien y avoir un moyen, excusez le il a tendance à exagérer
-Au revoir madame Ovalie, disait-il en lui serrant la main.

Mayam poussait Tom assez violemment et se dirigeait vers la porte d'entrée.

-Georg, Gustav, bonne fin de soirée.

Ils n'avaient pas le temps de répliquait quoi que ce soit que la porte se claquait. Mayam allait dans sa chambre et s'enfermait à clef. Comment Tom avait pu lui faire ça ? Demain son livre aurait pu paraître dans de grandes vitrines littéraires ! Elle savait bien que Tom avait fait exprès d'être insolent et de simuler une ivresse. Il en était tout à fait capable. Elle s'allongeait et s'endormait plus triste que jamais.

Chapitre 8.. ツ

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#Posté le jeudi 18 décembre 2014 12:34

Modifié le mardi 30 décembre 2014 11:36

Chapitre 9

Mayam Ovalie prenait son petit déjeuné avec sa fille Mia ainsi que la fille de Tom Kaulitz, Melinda. Cet avant dernier débarquait dans la cuisine tout préparé.

-Mayam je suis désolé
-Qui me parle ?
-Mayam on a plus dix ans, disait-il en faisant un bisou sur chaque joue des petites
-Non c'est vrai, mais hier tu avais dix ans. Tu te rends compte que j'aurais pu être édité ?
-Il te relooker, qui te dit que...
-Que quoi ? Tu devais juste surveiller, pas débarquait ainsi en jouant un demeuré. Disait-elle calmement
-J'ai eu peur, disait-il gêné. Hier soir j'ai parlais avec les G's et nous allons t'éditer. On a des relations, tu vas avoir le succès que tu mérites.
-Vraiment ?
-Oui, je te dois bien ça. Mais c'est vraiment parce que c'est toi
-Merci Tom, disait-elle en allant dans ses bras. Mon amour....t'es vraiment con quand tu veux
-Ne me dit pas que tu n'as pas aimé
-Là n'est pas la question, riait-elle

Ils riaient et se serraient fort l'un contre l'autre. Cette idée d'être éditeur du livre de Mayam était complétement magnifique pour elle. Elle allait préparer Mia à l'étage une fois le petit déjeuné terminé.

-Mon cher papa tu es dans la mouise, intervenait Melinda
-Oh ça oui...soufflait-il, Mayam ?!
-Oui ? disait-elle en ouvrant la porte de la salle de bain
-Tu peux me garder Melinda s'il te plait ?
-Pas de problème, on va sûrement aller faire les courses ! Tu nous rejoindras si tu peux ?
-Yes ! A plus les filles

Il déposait un baiser sur le front de Melinda et s'en allait.
Mia avait deux ans, elle ne parlait pas. Mayam ne passait pas un jour sans se rappeler de son accouchement et du drame qui l'avait touché.

Flash-back :

-Tom Tom Tom !!! Aide-moi !! Disait Mayam en déboulant dans la chambre de Tom
-Hein ? Quoi ? Maman ? Dieu ? demandait-il en sursautant
-J'ai perdu les eaux ! Je ne me sens pas....

Elle tournait l'œil et s'effondrait par terre. Tom se précipitait hors du lit et venait aux côté de son ami.
Il avait dû prendre Melinda, endormit, dans ses bras et de monter dans l'ambulance. Encore dans le brouillard il ne réalisé pas qu'il allait sûrement perdre son ami.

-Comment ça va derrière ? Demandait le chauffeur de l'ambulance
-Elle continue à perdre du sang, j'ai bientôt remplis trois poches, accélère !! Répondait l'ambulancier.

///////

-Docteur comment va Mayam ? Demandait Tom angoissé
-Nous faisons tout notre possible monsieur, vous êtes son petit ami ?
-Non je suis un ami, on habite ensemble
-Elle a perdu beaucoup de sang
-Comment va le bébé ?
-Il s'est étrangler avec le cordon médical, il est en réanimation

Le médecin repartait en urgence auprès de Mayam laissant Tom seul, désespéré. Il était rejoint par Georg et Gustav. La femme de ce dernier venait récupérer Melinda pour que Tom ne soit pas préoccupé par plus de chose qu'il ne fallait.

-Comment va-t-elle ? demandait Georg
-Elle a perdu beaucoup de sang, répondait-il en mettant son visage entre ses mains
-Elle va s'en sortir c'est une battante, répliquait Gustav
-Sa fait plusieurs jours qu'elle n'est pas bien, pourquoi je ne l'ai pas emmené à l'hôpital ? Se lamentait-il
-Tom, elle va s'en sortir, disait les garçons en lui donnant une tape sur l'épaule
-Monsieur ? demandait une infirmière
-Oui, répondait Tom
-Mademoiselle Ovalie s'est réveillée, elle vous demande.

Il se levait et suivait l'infirmière. Dans les couloirs elle lui donnait quelques détails.

-Interdiction de la faire marcher.
-Bien. Comment va le bébé ?
-Il est en couveuse. Je préfère vous prévenir il n'en est pas sorti indemne
-C'est-à-dire ?
-Il sera sûrement trisomique, et risque de ne pas parler. Voilà la chambre de votre ami, à bientôt monsieur.

Quelle charmante jeune femme...enfin, vieille femme. Il rentra dans la chambre et vit son amie avec des tuyaux de partout, accompagné d'un masque à oxygène. Elle sourit faiblement et leva son pouce.

- Doucement, économise-toi
-Comment va le bébé ? demandait-elle en enlevant son masque
-Le médecin ne ta rien dit ?
-Non...

Elle remettait souvent son masque. Ses yeux brillaient de joie d'être envie ; les yeux de Tom brillaient de tristesse.

-Comment tu vas l'appeler ?
-Mia
-Mia ? C'est joli, disait-il en s'asseyant sur la chaise près du lit
-Mon âme sœur s'appelle comme ça, elle me manque tu sais
-Je sais, tu m'en parles souvent, écoute, Mia va avoir quelques complications...
-Elle est en vie ?
-Oui
-Alors c'est tout ce qui compte Tom

Il sera fort la main de Mayam, retenant ses larmes au maximum. Il ne lâchera pas ces deux femmes. Jamais.

Fin du flash-back.

Depuis ce jour, Mia n'avait jamais prononcé un mot. Pas même un son. En plus de son mutisme elle était légèrement trisomique. Mayam évitait de surprotéger sa fille, mais c'était sans compter Tom, l'ami, le confident qui la couvrait de cadeaux.

Chapitre 9

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#Posté le vendredi 19 décembre 2014 13:44

Modifié le mardi 30 décembre 2014 11:36

Chapitre 10

-Quoi ? Mais comment veux-tu que l'on devienne éditeur ? Demandait Gustav en buvant sa bière
-J'en sais rien mais il va falloir, répondait Tom
-Pourquoi t'es-tu amuser à jouer le bourré hier soir ? Elle aurait pu décrocher son contrat
-Georg, n'en rajoute pas, j'ai eu peur qu'il abuse d'elle
-Tu sais quoi Tom, tu devrais plutôt réfléchir avant d'avoir peur, tu te fais des films dans n'importe qu'elle situation
-Les gars ! Il faut qu'on l'édite, on va l'aider. On va bien trouver un moyen, intervenait Gustav
-Bon, si vous permettez, j'ai promis à ma femme de lire son livre...soufflait Georg
-Sa t'enchante dis-nous, disait Tom en prenant le bouquin des mains de Georg, Mia Giniali est un auteur de livre a fort succès, lisait Tom. Je peux t'empreinter ton ordinateur s'il te plait ?
-Oui bien sur
Tom taper le nom de cet auteur dans le navigateur et tomber sur sa biographie.

-Ecouter ça : Mia Giniali, trente ans, mariée, deux enfants, originaire de France et connu dans le monde entier. Sa dernière polémique aurait été de se rebeller lors des manifestations contre le mariage pour tous en France, faisant ainsi la porte-parole de Gabrielle Nestor. L'article souligne que son acte est fortement drôle lorsque qu'on sait que son premier amour a été une fille.
-Oui et alors ? Demander Georg
-Gustav note moi son adresse s'il te plait, je vais appeler Mayam

/////

-Melinda tu peux attraper une boite de céréale pour Mia s'il te plait ?
-Pile poil à ma taille, riait la jeune fille
-Merci ma belle, bon il nous faut...des cookies et, et...Ah oui ! Du désinfectant pour ton père, lui et ses piercing je vous jure, souriait-elle
-Dis Mayam, tu aimes bien papa ? Demandait Melinda en montant dans le cadi.
-Evidement ma puce, tac, du ketchup...ah c'est dans ce rayon, pourquoi ça ?
-Non comme ça, comme ça...répondait la fillette en jouant avec les cheveux de Mia
-Tient moi la liste s'il te plait, ton père nous appelle

/////

-Mayam, quel est le nom de famille de ton premier amour ?
-Giniali, pourquoi ?
-Tu es aux courses ?
-Oui, avec les filles, ont s'amusent comme des folles, pourquoi ?
-Je vous rejoins sur le parking, dans dix minutes
-T'es gentil mais on est loin d'avoir fini la liste
-Je vous retrouverez à l'intérieur alors, bisous les filles
-Bisouuuus les garçons, criait Melinda en fond sonore

/////

Les filles continuaient les courses, rejointes par Tom.

-Melinda tiens-toi correctement, répliquait-il en poussant le cadi
-Mais papa je veux m'asseoir
-Pas de caprice, et puis tu vois bien que Mia est déjà assise là où tu veux mettre tes fesses non ?
-On a cas échangeait, si to plaiit papa !!

Elle se mettait à pleurer. Tom ne comprenait plus vraiment sa fille. Soit elle rayonnait d'intelligence soit elle faisait des caprices à tout va. Il posait ses avant-bras sur le guidon du cadi en souriant à Mia. Cette dernière jouait avec ses bracelets. Une vraie chipie.

-Voilà, on a tout, en route vers la caisse, répliquait Mayam épuisé de piétiner.
Une fois sur le parking Tom rangeait les courses dans le coffre de la voiture pendant que Mayam attachait les petites. Ce premier allait ranger le chariot. Mayam s'installa côté passager et souffla.

-Heureusement qu'on est venu à pied, comme ça, ton père nous ramène Melinda
-Mia t'es nulle ! Répliquait la fillette
-Melinda ! Ne parle pas comme ça à Mia
-Mais elle est folle ! Elle mange un des bracelets de papa
-Melinda ça suffit ! criait Mayam
-Oh oh oh ! Disait Tom ouvrant la portière et haussant la voix
-Papa elle fait que me crier dessus ! Pleurait-elle
-Melinda tu te tais, je ne sais pas ce que tu as aujourd'hui mais tu es pénible, et si Mayam te gronde c'est qu'il doit bien y avoir une raison !

Sa fille se taisait immédiatement. Elle lançait un regard noir à Mia et lui arrachait le bracelet de sa bouche.

-Débile !!
-MELINDA !!

A la vue du regard de son père dans le rétroviseur elle baissa les yeux. Elle rendait à Mia, sous les ordres de son père, le bracelet et finissait par s'endormir.
Une fois à la maison, Melinda était punit. Consignait dans sa chambre jusqu'au dîner. Les courses rangeaient, Mayam jouait avec sa fille sur le canapé du salon. Tom s'installait sur le tapis pour jouer avec elles.

-Je ne sais pas ce qu'à Melinda mais j'en peux plus
-Dans une étude j'ai lu que les enfants intelligents pouvaient avoir envie de régresser
-Là je ne sais pas mais elle va trop loin, traiter Mia de débile, c'est n'importe quoi
-Je suis d'accord...D'ailleurs en parlent de ça, je crois qu'il est tant que j'emménage dans ma nouvelle maison
-Déjà ?
-Tout est payé Tom, et puis je pense que Melinda se calmera envers Mia
-Peut-être, tu veux déménager quand ?
-Ce week-end
-Je préviendrais les G's se soir alors
-Merci, bon sinon tu m'as appelé pour me demander le nom de famille de mon premier amour, mais pourquoi ?
-Et bien Georg lit un livre et c'est elle qui l'a écrit
-Ah vraiment ?
-Oui, et ... Tu m'as dit que vous vous étiez promit de ne jamais refaire votre vie, c'est ça ?
-Oui, c'est exact, souriait-elle en prenant sa fille dans ses bras
-elle n'a pas tenu votre promesse...J'ai imprimais un article sur elle, tient, disait-il en lui donnant le papier qu'il avait précieusement rangé dans sa poche

Elle prenait le document entre ses mains et le lisait à haute voix. Ses yeux brillaient de tristesse, elle mettait ses mains devant sa bouche et s'effondrait en larme, sa fille dans ses bras.

Chapitre 10.. ツ

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#Posté le samedi 20 décembre 2014 05:09

Modifié le mardi 30 décembre 2014 11:36

News & Merry Christmas

Coucou tout le monde !! Pour des raisons personnelle je me dois de vous annoncer que je dois arrêter de poster maintenant pour l'année 2014. L'année a été éprouvante pour moi, et pour vous ?

En tout cas je vous souhaites à toutes et à tous un Joyeux noël ! Passez de bonnes fêtes, amusez-vous, profitez de chaque instant ! de chaque seconde ! Pour l'année 2015 je vous propose cette résolution : Oubliez tout ce qui a pu se passer, remettez les compteur à zéro. L'année s'achève, achevez aussi vos tracas et vos problèmes ! Encore Joyeux Noel !!

Je vous aimes !!!

NEWS, MERRY CHRISTMAS !!!!

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#Posté le samedi 20 décembre 2014 12:01

Modifié le mardi 30 décembre 2014 11:36

Chapitre 11

Il était quatre heures du matin et Mayam lisait pour la soixantième fois l'article qui avait pour tire : Mia Giniali une révolution.

-Mayam tu devrais aller te coucher, disait Tom en se grattant le bras et ballant de plus belle
-Non, pleurait-elle, elle n'avait pas le droit de me faire ça, elle m'avait promis, Tom

Il se mettait à genoux et la prenait dans ses bras. Il ne l'avait jamais vu dans cet état. Il prenait doucement l'article dans ses mains et le posa doucement sur la table basse. Il la portait calmement et l'emmena dans sa chambre. Elle s'endormit en larme dans ses bras chaud et son torse si doux.

2 jours plus tard.

Le dernier meuble installait, Mayam proposa à ses amis une bonne bière.

- Oh oui ce n'est pas de refus ! Soufflait Gustav en prenant sa bière
-Vous allez être bien là les filles, souriait Georg
-Je vais avoir du mal à m'y habituer mais j'espère, disait Mayam
-La maison va être vide, répliquait Tom
-Dis-toi que Melinda sera plus calme, et puis je suis à deux pâtés de maison
-Pour Tom tu es a deux pays d'ici, riait Georg

Ils dinèrent une Pizza et s'en allèrent un peu émécher. Une fois la porte fermait, Mayam sentis un vide en elle. Comme si une part d'elle s'en était allé. Et si cette part d'elle-même se résumer au nom de Tom ? Mia avait gardait les bracelets de celui-ci, ses larmes coulaient.

-Eh, ma chérie, chuuuut, disait Mayam en la prenant dans ses bras, Tom va revenir mon ange, il n'est pas loin, d'accord ?

Le silence de sa réponse faisait un électro choque en Mayam. Si Tom avait été là, il aurait répondu pour elle, l'aurait consolé à son tour. Mais Tom n'était plus là. Mayam devait se résigner à n'entendre plus aucun son, aucun bruit, aucune agitation.

Deux semaines plus tard.

Melinda était redevenue sage, douce et aimante. Tom lui, était ailleurs. Il passait ses journées à boire des bières et à envoyer sa fille chez ses amis. Il pensait souvent. Pour lui sa fille était devenue détestable. Il l'aimait certes mais il pensait de plus en plus à l'envoyer loin de lui. Aujourd'hui il était seul chez lui. Il s'amusait à regarder des films pour adultes, comme un adolescent en manque de relation.
Soudain il vit une petite fille se coller à l'écran de télévision et à le regarder.

-Mia !! Non ne regarde pas ça ! Disait-il paniqué en éteignant vite la télévision
-Oh Tom...Soupirais Mayam en regardant la boite du DVD
-Ce n'est pas du tout ce que tu crois, disait-il en se levant
-Je ne crois rien, je vois et constate que tu es en manque, sort un peu, et puis c'est quoi cette barbe ?
-Sortir pour aller où ? Demandait-il en touchant sa barbe, que fais-tu là d'ailleurs ?
-Je suis venu te rendre le double des clefs, au bout de deux semaines quand même, souriait-elle timidement, mais je vais te laisser tout de suite, tu es occupé...disait-elle en prenant Mia dans ses bras
-Non ne partez pas, je suis tout seul en plus...Soufflait-il
-Tom, disait-elle en s'asseyant, qu'est-ce qui se passe ? Je ne t'ai jamais vu dans un tel état, tu as les cheveux gras, une barbe de dix kilomètres, des chaussettes troués, mon vieux réveille-toi, bouge un peu
-Je ne supporte plus ma fille, et puis...
-Et puis ?
-Vous me manquez, avouait-il en s'affalant au côté de Mayam sur le canapé, vient là toi, disait-il à Mia
-Non, non et non, tu vas prendre une douche, tu vas te raser et après elle pourra venir dans tes bras, un nid à bactérie ne touchera pas ma fille, souriait-elle, et change toi, et profite en pour mettre des chaussettes potables
-D'accord, d'accord riait-il

Il montait à l'étage et mettais dix minutes pour choisir sa tenue. Un tee-shirt noir avec un foulard blanc et rouge à carreau accroché à la poche arrière de son Jean fera entièrement l'affaire. Il alla ensuite dans la salle de bain. Il se leva les cheveux six fois et parfuma son corps avec son gel douche favori, celui qui lui faisait briller légèrement la peau. En sortant, il plaça une serviette à sa taille et une autre dans ses cheveux. Il essuya correctement son visage et se rasa légèrement. Il se regarda vraiment dans le miroir, pour la première fois depuis trois ans. Depuis la mort de sa femme et de son frère. Il entendait le rire de Mayam, un rire doux, sincère et léger. Il poigna fermement son rasoir et se rasa la barbe, entièrement. Il sécha ses cheveux et fit un chignon basique.
Une fois cela terminé, il s'habilla et mit de son somptueux parfum. Ce dernier était resté au placard bien trop longtemps. Heureusement son parfum était toujours aussi viril.
Il sortit de la pièce et s'arrêta en haut des escaliers. Il avait une vue direct sur son ami et sa fille. Mayam tournait en tenant sa fille par les mains. Elle riait et Mia souriait.
Il descendit les escaliers, gonflé à bloc. Les filles le regardèrent de haut en bas, au moins dix fois.

-Alors là...t'es au top ! Souriait Mayam, tu as vu ma chérie ? C'est qui ça ? Et oui c'est Tom, riait-elle
-Aller vient là, petite fée, souriait-il en prenant la petite dans ses bras
-Ce soir, tu me ramène ce DVD, promis ?
-Promis. Bon on fait quoi ?
-Une balade avec les chiens dans un parc ? Tu sais, sa fait que monter et y'a des plates formes, on y est pas allé depuis...un an je crois
-Pourquoi pas, en avant !
Mayam prenait les clefs de Tom et fermait la maison à clef. En voiture, Tom détachait un de ses bracelets et le donnait à Mia. Cette dernière était folle de ceux-là. Mayam était sur son téléphone.

-Je me suis renseignais sur Mia Giniali, avouait-elle
-Qu'as-tu trouvé en plus ?
-Et bien...Elle vit une vie parfaite, et est très heureuse...soupirait-elle
-Passe à autre chose, je sais que c'est dur mais...Tu vas y arriver, à force, j'ai appris à te connaitre et je sais que tu en es capable.
-Tu as sûrement raison...
-Bon au cas où...tient...j'ai son adresse...disait-il en sortant son portefeuille de sa poche
-Merci, disait-elle en prenant le papier dans le portefeuille, mais je crois que...que je n'ai plus jamais envie de la voir, avouait-elle en regardant à travers la vitre. Je t'aimerai toute ma vie Mia Giniali, pensait-elle.

Chapitre 11

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#Posté le samedi 10 janvier 2015 11:47

Fiction2TokioHotel26100

Chapitre 2

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Chapitre 3

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